Esse letra de Francis Cabrel já foi acessado por 110 pessoas.
Veja também o vídeo da música tocada.
Quand les vents se déchirent sur les angles des toitsDes rues que je traverse à peineQuand les journées s'étirent et n'en finissent pasJe m'ennuie de chez moiQuand je sens que l'automne se consume là-basQuand je sais que le feu dévoreLes berges de Garonne où les arbres flamboientJe m'ennuie de chez moiDe ce bout de terrain qui a brûlé ma mémoireCe petit point sur le grand canevasQu'un grand-père italien a choisi par hasardY a longtemps déjàY a longtemps déjàQuand le mot tambourin de chantait que pour moiQuand je me cachais pour l'entendreLa cabane du jardin, la clef du cadenasY a longtemps déjàLorsque j'y pense tropLorsque mes yeux se froissentPuisque je sais qu'il existe sans moiJe mets mon cœur en haut des pilotis de glaceJe continue comme çaJe continue comme çaLorsque j'y pense tropLorsque mes yeux se froissentPuisque je sais qu'il existe sans moiJe mets mon cœur en haut des pilotis de glaceJe continue comme çaQuand je m'ennuie de chez moi
Para enviar você precisa efetuar um cadastro gratuito no site. Caso já tenha um cadastro, acesse aqui.
Acesse agora, navegue e crie sua listas de favoritos.
Entrar com facebook Criar uma conta gratuita
Comentários (0) Postar um Comentário