Esse letra de Chelon Georges já foi acessado por 65 pessoas.
J'étais, je pense, comme un bohémienEt je lisais les lignes de ta mainTu as tué mon âme de gitanEt je t'en veux, t'en loue en même tempsAdieu Marianne, le temps vientOù nous allons rire, pleurerEt rire, pleurer, puis en rire à nouveauNous étions encore jeunes quand on s'est rencontrésSous les lilas en fleurs d'un parc on s'est cachésTu t'es pendue à moi comme à un crucifixComme nous nous agenouillions dans la nuitAdieu Marianne, le temps vientOù nous allons rire, pleurerEt rire, pleurer, puis en rire à nouveauComme à une fragile toile d'araignéeJe me raccroche à ton souvenir pour ne pas tomberC'est alors que j'allais prendre ta main et m'en sortirQue tu as choisi le moment de partirAdieu Marianne, le temps vientOù nous allons rire, pleurerEt rire, pleurer, puis en rire à nouveauAmour accommodant, amour caméléonTu as encore, je vois, changé de nomEt tu parles de nous à tous ces étrangersComme si nous n'avions plus de secretsAdieu Marianne, le temps vientOù nous allons rire, pleurerEt rire, pleurer, puis en rire à nouveau
Para enviar você precisa efetuar um cadastro gratuito no site. Caso já tenha um cadastro, acesse aqui.
Acesse agora, navegue e crie sua listas de favoritos.
Entrar com facebook Criar uma conta gratuita
Comentários (0) Postar um Comentário