Esse letra de Charles Trénet já foi acessado por 100 pessoas.
Je prends le train ce soir.Adieu Paris, ma ville.Adieu les jours de vrai bonheur !La bohême charmante et les amours faciles.Tout ce qui parlait à mon cœurLa comtess' Bokbok, son salon et ses lustr's,Les rendez-vous au fond du parc du Luxembourg,La Sorbonne terrible et sa poussière illustre,Et ma chambre tout près du ciel, près de l'amour, près del'amour.Adieu les vieux copains, les amis que je laisseEt vous petite femme exquise que j'aimais.Adieu tous mes printemps et tous mes mois de mai.Adieu jeunesse.Je retrouverai la province,Le même calme du foyer,Le même bruit, la port' qui grince,La même odeur de camembert dans l'escalier,Les dames pieuses, les commèr's, le receveur de l'enregistrementEt les fill's du commandantQui ne sort'nt qu'avec leur mère,Et voilà ! Je suis diplômé.Le roman est terminé.Je prends le train ce soir.Adieu Paris, ma ville,Adieu les jours de vrai bonheur,La bohême charmante et les amours faciles,Tout ce qui parlait à mon cœur,L'automne blond, le long des quais, sous les grands arbres,Le bouquiniste et son vieux client du jeudi,Le petit restaurant où l'on sert sur le marbre,Où l'on dîne en vitesse, où l'on mange à crédit quelquesradis.Adieu les vieux copains, les amis que je laisseEt vous, petite femme exquise que j'aimais.Adieu tous mes Printemps et tous mes soirs de mai.Adieu, Adieu jeunesse !
Para enviar você precisa efetuar um cadastro gratuito no site. Caso já tenha um cadastro, acesse aqui.
Acesse agora, navegue e crie sua listas de favoritos.
Entrar com facebook Criar uma conta gratuita
Comentários (0) Postar um Comentário